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le vieux monde qui n'en finit pas
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28 novembre 2014

La Malagueña

Enamorada (1946), lointaine adaptation de La mégère apprivoisée [où Emilio Fernandez montre sa préférence, aux dépens de la lumineuse Maria Félix, pour le duo de college buddies que constituent le beau militaire nationaliste (Pedro Armendariz) et le curé incarné par son propre demi-frère, Fernando Fernandez], illustre l'adage de Samuel Fuller, "un mélodrame, c'est un drame plus de la musique". Le drame, c'est l'amour longtemps empêché des deux protagonistes sur fond de guerre civile mexicaine (1821, au lendemain de l'indépendance du pays - rien à voir donc avec quelque "révolution" que ce soit). La musique, ce peut être l'aubade donnée nocturnement à Beatriz par le Trio Cavaleras. La Malagueña (composée en 1946, soit 125 ans plus tard !). On les réécoute. 

 
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