"Sergio Corbucci (1927-1990), écrit Jean-François Rauger dans sa présentation, est l'un des inventeurs du western italien qu'il enrichit d'idées baroques (Django, 1966 ; Le Grand silence, 1968) quand il n'en fait pas le vecteur d'un discours anti-impérialiste (sa série « révolutionnaire » : Le Mercenaire, Compañeros). Le cinéaste a pourtant débuté dès les années 1950, servant jusqu'aux années 1960 les genres à la mode comme la comédie (Les Deux Maréchaux, avec Totò) ou le péplum (Romulus et Rémus, Le Fils de Spartacus). Il fut l'un des piliers d'un grand cinéma populaire italien aujourd'hui disparu."
En conséquence de quoi les Parisiens auront le privilège d'assister, du 9 au 29 juillet, à la grande rétrospective que lui consacre la Cinémathèque française (à Paris). Un des événéments majeurs de l'été cinématographique. Toutes les infos sont ICI.
Non mais c'est la peur de se voir enfermer dans une tour d'ivoire ou quoi? Qui a vu DJANGO plus d'une fois? Tarantino? Mais il est fou ça compte pas, devrait se contenter de faire des films, celui-là. Ah EL MERCENARIO... beau duel dans l'arène c'est vrai. Bon.