
Un bref extrait de Bloy, dégotté sur un très beau site consacré aux terrains vagues, ICI MEME.
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« Un jour de juillet, presque à l’aube et le lever du soleil s’annonçant à peine, Marchenoir sortit, selon sa coutume, pour se rafraîchir sur les bastions, en lisant quelques pages de Saxo Grammaticus ou de la Cornucopia de Perotto.
Ayant fait une soixantaine de pas environ, comme il regardait à ses pieds pour tourner l’angle de sa rue, il aperçut à deux pas, dans ce lieu désert où n’existaient alors que des clôtures de jardins...
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