16 février 2012
René Magritte et le critique pompe-à-merde
Texte lisible pour les ceusses qui ont l'impudence de nous lire sur l'écran ridicule de leur sillyphone :
Monsieur Richard Dupierreux, critique d'art au journal "Le Soir" Bruxelles. Cher Monsieur Dupierreux, La bêtise est un spectacle fort affligeant mais la colère d'un imbécile a quelque chose de réconfortant. Aussi je tiens à vous remercier pour les quelques lignes que vous avez consacrées à mon exposition. Tout le monde m'assure que vous n'êtes qu'une vieille pompe à merde et que vous ne méritez pas la moindre attention. Il va sans dire que je n'en crois rien et vous prie de croire cher Monsieur Dupierreux en mes sentiments les meilleurs. Magritte, 3 mai 1936, rue Esseghem, Jette Bruxelles
[Reçu tout à l'heure, de l'ami Jean-Pierre.]
Publicité
Publicité
Commentaires
P